Merci à ceux qui viennent de s'abonner à ma newsletter !
C'est sympa d'avoir envie de me lire...
Merci à mes fidèles lectrices et lecteurs, ceux qui sont encore et toujours là, ceux qui ont disparu, ceux qui ne me parlent qu'en privé...
Désolée d'être plutôt aux abonnés absents, en ce moment...
Promis, je reviens bientôt...
Oui, j'ai pas mal de choses à gérer :
- un boulot prenant et passionnant...
- un déménagement dans 3 semaines !
- des cartons qui s'emplissent et des visites de la maison qui commencent
- un double loyer puisque je paie pour les deux maisons
- un ex-mari qui me donne la facture même quand il achète 3 caleçons à son fils...
- un ex-c...rd qui a le culot d'appeler l'agence pour récupérer sa caution avant la restitution (elle l'a trouvé gonflé et a refusé, évidemment !), je me demande comment il a su que je déménageais...
- deux p'tits gars adorables (qui parfois me saoûlent quand même grave).
- des copines et des potes à ne pas oublier (merci à eux d'exister !)
- quelques rencontres qui seraient ok pour me consoler si je leur fais signe (rêve !)
- et quelques fantômes du passé qui heurtent mes tiroirs pourtant bien fermés et remplissent mes nuits d'insomnies en pointillés...
Voilà, j'ai parfois l'impression que mon corps est trop étroit pour y loger tout ça, alors ça déborde. En larmes, seule dans ma voiture quand le masque se fendille ou en éclats de rire avec mes copines.
Parfois, on doit se battre pour se mettre en mode machine, avec le sourire de façade, l'attitude irréprochable, les sentiments insoupçonnables. J'ai de plus en plus de mal à faire semblant.
C'est trop.
Trop plein d'émotions.
Trop de speed.
La machine a des ratés. Le cœur palpite un peu encore.
Maëlle - Toutes les machines ont un cœur